quandreprendre la pilule Home; FAQ; Blog; Contact; Et mon copain veut que je commence à prendre la pilule, seulement si je le prends maintenant, c’est trop tard, ce sera pas au premier jour de mon cycle >_
Lesdouleurs lors des règles appelées dysménorrhée sont très fréquentes chez les jeunes filles. 50 à 70 % des adolescentes ont des règles douloureuses de façon permanente ou occasionnelle. Puis la fréquence de la dysménorrhée diminue après 18 ans. Les douleurs lors des règles peuvent aller d’une simple gêne à de véritables crampes.
8réponses. j'ai 52 ans et après 2 ans de ménopause, j'ai eu des règles très très abondantes, comme une hémmoragie et pendant 8 à 10 jours avec très grosse fatique. Je suis allée consulter un Gynéco qui m'a dit que c'était un retour d'ovulation mais rien de grave, mais il faut absolument consulter pour être sûre que ce n'est que cela.
Pourquoiles copines ne les ont pas encore ? Il est préférable d'informer votre enfant sur les menstruations, en répondant à toutes ses questions dès l'apparition des premiers signes de puberté (poils sous les bras, poitrine, etc.).
Lesrègles, symbole de la liberté retrouvée . Après leur libération, la plupart des femmes qui avaient souffert d’aménorrhée dans les camps de concentration ont fini par avoir à nouveau leurs règles. Ce fut un moment de joie pour beaucoup d’entre elles. Née à Londres, Amy Zahl Gottlieb était, à 24 ans, le plus jeune membre de la première unité de Jewish Relief
Ellesarriveront quand ? Les premières règles peuvent survenir entre 9 et 16 ans. Du coup, difficile de les prévoir ! La plupart des filles les ont entre 11 et 13 ans, mais chaque fille est différente et il ne sert à rien d’être pressée. Tu veux être prête lorsqu’arrivera le jour J
4Xzd7ys. Depuis 9 mois, on ne pensais plus aux règles, on les a presque oubliées. Sauf que, qu’on le veuille ou non, aprés l'accouchement, les règles finiront par revenir. Mais quand ? Et qu’est-ce qu’on entend au juste par retour de couches ? Voici des réponses claires aux questions que vous vous posez. Qu’est-ce que le retour de couches ?L’expression retour de couches », aussi appelée suites de couches », indique le retour des règles, après des longs mois de pause durant la grossesse. Lorsqu’une femme est enceinte, son corps passe par de nombreux bouleversements. Le système hormonal, notamment, est très sollicité pendant la grossesse et la période post-partum. Il se remet progressivement à fonctionner à un rythme normal », plusieurs semaines après l’accouchement. C’est à ce moment-là que les règles lochies, règles ou pas règles ?Les lochies ne sont pas des règles. Il s’agit d’importantes pertes de sang qui surviennent tout de suite après la naissance d’un enfant. Elles peuvent durer plusieurs semaines elles sont très abondantes durant les premières 72 heures et se tarissent au fil des jours. Leur couleur varie, elles sont d’abord rouges, puis roses et enfin brunes. Les lochies sont en fait une sorte de grand ménage de l’utérus la muqueuse utérine et les vaisseaux qui alimentaient le placenta sont éliminés. Les lochies contiennent souvent des caillots. Loin d’être inquiétants, ces caillots sont plutôt bon signe ils indiquent que votre sang coagule bien et qu’il n’a aucun risque d’hémorragie. C’est aussi le signe que le col de l’utérus commence à se cicatriser. Qu’est-ce que le petit retour de couches ?12 jours après l’accouchement, et pendant 48 heures environ, les saignements redeviennent plus importants c’est ce qu’on appelle le petit retour de couches. » Si cela passe inaperçu auprès de certaines femmes qui les confondent avec les lochies, d’autres s’inquiètent ou se posent des questions est-ce des règles ? Non, une fois de plus le petit retour de couches n’est qu’une étape dans la cicatrisation de l’ alors, les vraies » suites de couches, c’est pour quand ?La réapparition des règles ne se fera pas au même rythme, si la mère n’allaite pas son enfant ou si elle donne le sein à son bébé. La jeune maman n’allaite pas Dès l’accouchement le système hormonal, et donc le cycle menstruel, commence à se remettre en place. Dans ce cas 6 à 8 semaines après l’accouchement, le retour de couches, c’est-à -dire les règles devraient mère allaite Le retour de couches est plus tardif car la prolactine, hormone de la lactation, bloque l’ovulation et donc le rétablissement des règles. Elles ne réapparaîtront qu’à la fin de l’allaitement ou si celui-ci se prolonge, environ trois mois après l’accouchement. Cela varie d’une femme à l’autre en fonction de plusieurs facteurs rythme des tétées, allaitement mixte ou pas, etc sans que ce soit possible d’établir des règles retour de couches, ça fait mal docteur ?Les signes qui annoncent le retour des couches ne diffèrent guère de ceux que vous connaissez déjà douleurs aux seins, tensions dans le bas ventre, changement d’humeur, etc. En bref, des signes du syndrome prémenstruel classique. Bonne nouvelle, celles qui avant l’habitude d’avoir des règles douloureuses, peuvent s’attendre à une jolie surprise les règles feront beaucoup moins mal, grâce à l’assouplissement des tissus et de l’utérus qui a eu lieu pendant la contre les saignements risquent d’être plus abondants que lors des règles ordinaires ». Ils peuvent également se prolonger pendant une semaine, voire plus, au lieu de cinq jours ou serviettes, quoi privilégier ?La décision vous revient. Lors du retour de couches, le tampon peut être fastidieux si vous avez une cicatrice d’épisiotomie ou quelques points de suture. D’ailleurs, il n’est pas conseillé d’utiliser des tampons lors des lochies et du petit retour de couches vu l’ampleur des saignements, il est en effet important d’écarter tout risque d’infection lié à la stagnation du sang dans le canal de couches et fécondité halte aux idées reçues !Peut-on retomber enceinte avant le retour de couches ? La réponse est oui ! En effet, le retour de couches indique que le cycle menstruel est redevenu régulier, mais même en l’absence de règles l’ovulation peut avoir lieu. Par conséquent le risque de tomber enceinte est donc toujours est d’autant plus vrai pour les femmes qui allaitent l’allaitement ne protège pas d’une éventuelle nouvelle grossesse, notamment en cas d’allaitement faudrait donc penser à se protéger dès la reprise des rapports sexuels et donc même avant le retour des couches. C’est pourquoi il n’est pas prématuré de parler contraception pendant le séjour à la maternité, comme cela se fait couramment aujourd’ contraception après l’accouchement ? Il est impossible de connaître la date précise de la première ovulation après l’accouchement cela peut survenir à tout instant. 10% des femmes peuvent d’ailleurs ovuler dans les premières semaines après l’accouchement. Il est ainsi important de penser à utiliser une contraception lors de la reprise des rapports sexuels. En revanche, il est trop tôt pour envisager de mettre un stérilet ou utiliser un contraceptif local, type spermicide ou diaphragme. En effet, l’utérus, comme l’appareil génital, n’ont pas encore repris leurs formes et volumes initiaux. Vous pouvez ainsi seulement utiliser la pilule contraceptive ou le préservatif. Bien sûr, l’avis d’un médecin ou de votre sage-femme est primordial. Vous pourrez choisir un autre mode de contraception après le retour de couches. © Getty Images Un incroyable accouchement dans l'eau ! Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. Journaliste spécialisée en parentalité, Elise écrit pour aufeminin et Parole de mamans. Elle est aussi très engagée dans la lutte pour les droits des femmes. Si vous ne devez retenir que …
© Getty Images 1/10 - Du gras a minima. Le gras c'est calorique, même s'il en faut un petit peu dans notre assiette car il est indispensable à la santé, à la beauté de la peau et même pour mincir. "Supprimez au maximum les graisses animales beurre, sauces, viandes grasses, crèmes... conseille le nutritionniste Raphaël Gruman. Et limitez les végétales, même l'huile d'olive. 1 c. à s. par repas suffit. Découvrez ici 8 recettes de sauces et vinaigrettes minceur. Le 25 avr 2020 à 12h06 mis à jour 08 sept 2021 à 17h17 [DIAPORAMA] Pour perdre les rondeurs qui se sont peut-être accumulées pendant ces semaines de confinement sous-entendu de grignotage voici les 10 commandements minceur du nutritionniste Raphaël Gruman, classés par ordre décroissant d' du poids résulte souvent d'un rythme de vie où on ne prend plus le temps de rien on ne respire plus, on ne dort plus, on ne marche plus, on ne cuisine plus... Côté nutri justement, un petit trop de sauce dans la salade, un verre de jus d'orange sucré tous les matins, un carré de chocolat en trop chaque jour... ces mauvaises habitudes globales laissent les rondeurs s'installer. Ce sont ces mauvaises habitudes globales, du matin au soir, qu'il faut revoir quand on veut s' le même sujetLe coup de pouce aroma versez 1 goutte d'huile essentielle de cèdre de l'Atlas, 1 goutte de lemongrass et 1 goutte de criste-marine dans 1 cuillère à soupe d'huile végétale. Appliquez sur les cuisses, le ventre et les fesses en formant un pli cutané entre vos doigts et en le faisant rouler du bas vers le haut, reproduisant ainsi le palper-rouler. Renouveler tous les jours pour gommer les lire aussi Calculez votre IMC avec notre outil en ligne9 bons réflexes quotidiens pour une détox au long coursMinceur 1 semaine de menus antifringalesMinceur savoir reconnaître quand on a vraiment faim Inscrivez-vous à la Newsletter de Top Santé pour recevoir gratuitement les dernières actualités © Getty Images 2/10 - De bonnes protéines, donc des protéines maigres. Dans les aliments, les protéines sont associées avec plus ou moins de graisses. Ciblez les bonnes ! "Remplissez votre réfrigérateur et votre congélateur de dinde, veau, lapin, poulet, poissons blancs, crustacés, coquillages, jambon blanc, viande des Grisons, bresaola, thon, œufs", conseille Raphaël Gruman. Ce sera votre garde-manger minceur. Découvrez ici 8 recettes rapides avec un blanc de poulet© Getty Images 3/10 - Ne jamais avoir faim. Ne pas avoir de fringales pendant un régime, c'est la base ! Sinon, c'est que vous ne mangez pas suffisamment aux repas, souligne Raphaël Gruman. Dans ce cas, augmentez un peu la quantité de tout pas seulement des légumes ou du poisson, par exemple, mais des deux. Cela ne freinera pas votre perte de poids, au contraire ! Mais ne compensez pas par un morceau de pain ou de fromage en plus. Découvrez ici comment vaincre le grignotage avec la respiration abdominale© Getty Images 4/10 - Fibres à satiété. Indispensables à la satiété sensation d'avoir suffisamment mangé ainsi qu'au transit intestinal, les fibres se trouvent principalement dans les céréales complètes, le pain complet, l'avoine, les fruits et légumes, les légumineuses. Oubliez le pain blanc, le jus à la place des fruits, et remplacez vos pâtes habituelles par des lentilles. Découvrez ici 9 façons de cuisiner les lentilles corail.© Alliance 5/10 - Hydratation détox non-stop. Stoppez les jus, les sodas même sans sucre et boissons lactées sucrées. Buvez en revanche 1,5 litre de liquide par jour, dont 6 verres d'eau plate ou gazeuse, le reste en thé, café, tisane ou soupe de légumes, préconise Raphaël Gruman. Indispensable pour drainer, couper l'appétit et éliminer les toxines. Et à l'apéro, remplacez l'alcool par des eaux détox et boissons légères. © Getty Images 6/10 - Une activité physique cardio à l'effet brûle-graisses. Pour aider à vous affiner, bougez activement 3 fois 15 min par semaine. Multiplier les efforts est plus payant qu'un entraînement unique et intense. Marche rapide, vélo, rameur, vélo elliptique, jogging, natation tout ce qui fait travailler le cœur plus que "rien" est bienvenu. La fréquence cardiaque doit rester basse pas de sprint ou d'essoufflement, brûle-sucre et qui ouvre l'appétit, insiste notre expert. Au contraire, plus c'est cool et long, plus c'est brûle-graisses le corps puise dans ses réserves caloriques pour alimenter les muscles qui travaillent. Découvrez 8 bonnes raisons de pratiquer une activité physique© WavebreakmediaLtd 7/10 - Chaque jour, des exercices anti-rondeurs. Des exercices quotidiens de renforcement musculaire et de gainage remodèlent la silhouette et aident à stabiliser le poids après le régime. Les deux meilleurs la planche on s'allonge sur le ventre, et on soulève son poids en se mettant sur les avant-bras et les orteils et la chaise on s'assoit dos contre le mur... mais il n'y a pas de chaise. On tient trois séries de 30 secondes pour chaque exercice, tous les jours. Ces exercices statiques font travailler les muscles posturaux et créent des fibres musculaires plus puissantes. Découvrez aussi 4 exercices de muscu à la maison pour garder la forme© Getty Images 8/10 - Bien dormir pour gérer les fringales. Moins bien on dort, plus on consomme de calories pour lutter contre la fatigue, et plus on perturbe la ghréline, le cortisol et la leptine, trois hormones qui gèrent la faim. Une chambre aérée, propre, noire pas d'écran allumé, de petites lumières qui clignotent et calme , c'est la base. Lire un livre avant d'éteindre est un bon rituel, si ce n'est pas sur écran. Les liseuses classiques sont parfaites, celles qui s'allument dans le noir, non. Découvrez ici 12 conseils pour bien dormir © Getty Images 9/10 - Relaxation et étirements anti-craquage. Objectif gérer son stress, source de grignotage car on essaie d'apaiser une anxiété avec des aliments sucrés chocolat.... A la fin de la semaine, ces "petits craquages" font des montagnes de calories en trop. Une respiration abdominale lente et profonde, un automassage des mains ou du ventre, un bon bain relaxant, des étirements seront plus efficaces et moins dangereux pour la silhouette. Découvrez ici 5 conseils pour débuter la méditation© Jupiterimages 10/10 - Du temps... rien que pour soi. C'est tout bête, mais très important nous devons respecter certains rythmes. Manger à heures régulières, faire nos exercices et notre sport de même, etc. Inscrivez sur votre agenda les rendez-vous avec vous, et respectez-les. Si vous ne notez rien, la séance de marche rapide ou le bain relaxant vont passer à l'as, vous aurez toujours mieux à faire. Sur le même sujet
La pilule est un mode de contraception très prisé par les jeunes filles et les femmes d'aujourd'hui. Mais quand faut-il exactement l'arrêter pour tomber enceinte ? Et combien de temps doit-on attendre avant d'espérer mettre un bébé en route ? Fourchette & Bikini répond à nos questions ! Arrêt de la pilule combien de temps pour tomber enceinte ? Petit rappel pour celles qui n'était pas très assidues en SVT quand on prend la pilule, on accroît artificiellement la dose d’œstrogènes et de progestérones dans notre corps ; et comme ce taux augmente, notre organisme en déduit que c'est parce qu'on est enceinte... du coup, il arrête le processus d'ovulation. De ce fait, quand on arrête la pilule, il faut laisser notre organisme reprendre un rythme d'ovulation normal et naturel. Les gynécologues et les spécialistes conseillent d'ailleurs souvent aux femmes qui utilisaient la pilule comme moyen de contraception d'attendre 1 mois avant de tenter de mettre un bébé en route, histoire que leur cycle menstruel redevienne régulier, que la muqueuse de l'utérus reprenne de l'épaisseur, etc. On peut donc tomber enceinte 2 mois après avoir arrêté sa pilule ! Mais bon, une femme qui ne tient pas compte du délai de 30 jours recommandé par les spécialistes et dont l'ovulation repart directement après l'arrêt du contraceptif peut tomber enceinte 1 mois après avoir pris sa dernière pilule. La reprise de l'ovulation post-pilule une variable incertaine Il y a une chose très importante à savoir pour les femmes qui arrêtent leur contraceptif pour tomber enceinte la reprise de l'ovulation post-pilule n'est en rien une science exacte ! Certes, le corps ne sera plus soumis à une prise d'hormones non-naturelle, mais cela ne veut pas dire pour autant que l'ovulation va revenir du jour au lendemain. Chez certaines femmes, elle reprendra 3 semaines après, et pour d'autres, ce sera plus long. Cela ne dépend même pas de la durée pendant laquelle elles auront pris la pilule, mais tout simplement d'elles et de leur corps. D'où l'idée reçue qu'en prenant la pilule, on a plus de mal à tomber enceinte par la suite d'ailleurs. Mais pas de panique si 2 mois après l'arrêt de la pilule, le test de grossesse est négatif c'est juste que la nature prend un peu son temps ! Absence de règles après l'arrête de la pilule enceinte ou pas ? Autre chose fondamentale à retenir quand on tire un trait sur la pilule il arrive souvent que suite à l'arrêt du contraceptif, les règles ne soient pas vraiment régulières au début. On peut par exemple ne pas avoir ses règles pendant les 2 premiers mois, puis ensuite perdre un peu de sang entre 2 cycles. Ça peut faire peur, mais il ne faut pas s'alarmer une fois dégagé d'un contraceptif hormonal, notre organisme a juste besoin de se réajuster un peu !
La nutrition, c'est vraiment la chose la plus confuse ever alors que personne -même les professionnels - s'entend pour dire la même chose faut-il en manger du gluten, ou faut pas? Et des produits laitiers? Et la viande, elle? On dirait que, à part les légumes, plus personne sait ce qui est sain pour son corps et ce qui est que j'adore tester plusieurs types d'alimentations, une diète a particulièrement retenu mon attention puisque plusieurs personnes m'ont confirmé qu'elle a fait des miracles dans leur vie le jeûne sélection de l'éditeur Ces 17 entreprises au Québec sont parmi les 100 meilleurs employeurs au CanadaEn fait, le jeûne intermittent, c'est un mode de vie qui consiste à jeûner une partie de la journée ou parfois une journée complète, et de manger seulement pendant un court moment, soit entre 6 et 12 heures, en avis d'experts sont très partagés sur le sujet. D'une part, certains nutritionnistes croient qu'il faut manger environ six petits repas par jour pour avoir une alimentation et un niveau d'énergie équilibré. D'une autre part, certains ne jurent que par ça pour brûler les graisses et sensibiliser leur clientèle à ce qu'ils mettent dans leur nutritionnistes offrent aussi cette option pour perdre du poids parce qu'il y a une limite au nombre de calories qu'on peut ingérer dans une fenêtre de temps si donc poussé mes recherches pour bien comprendre les risques et les éviter pendant mon mois d' Cynthia Marcotte, nutritionniste de profession, il faut faire attention avec cette manière de s' avoir essayé elle-même la diète qui fait tant jaser, elle a réalisé quelques gros risques à l'adoption de celle-ci, surtout à long terme. On compte, entre autres, une tendance à consommer de trop grosses portions ou des aliments malsains ou transformés parce que tu attends pour manger depuis trop longtemps. Il y a donc aussi le risque de développer des troubles alimentaires tels que l'anorexie ou la ses recherches, le jeûne stimule certaines hormones circulant dans notre sang et en charge d'influencer la sensation de satiété. Donc moins tu manges, moins tu as faim et vice versa. Il faut faire attention avec cela puisqu'un apport en calories trop réduit peut entraîner le corps à passer en mode survie » et éventuellement, à aller puiser son énergie dans les réserves que j'ai beaucoup lu et écouté de témoignages sur le sujet, la méthode qu'on conseillait principalement pour quelqu'un comme moi était le 18-6. C'est donc pour quelque chose qui ressemble à ça que j'ai penché, en faisant un genre de 17-7 puisque le 18-6 se faisait moins bien avec mon horaire et je voulais la chose la plus stable possible, pour avoir une immersion repas s'étendaient donc entre midi et 19 h 00, mais j'essayais de les consommer soit entre 12 h 30 et 19 h 00ou avant, ou 12 h 00 et 18 h 30 pour me rapprocher le plus de la formule 18-6 que j'arrivais parfois à reproduire. J'y suis allée avec un jeûne qui permet le café noir et le affirment que les bouillons de soupe sont aussi acceptés, je ne suis pas allée dans cette direction. Les premiers joursSelon plusieurs, les premiers jours sont les pires après l'excitation du jour un alors que tu habitues ton corps à quelque chose de totalement ma part, les premiers jours n'ont pas été difficiles du tout, alors qu'ils m'ont plutôt fait prendre conscience de tout ce que je mettais dans mon corps. Limitant mes repas, je voulais y aller de manière stratégique et ne pas donner de calories vides à celui-ci. On m'a aussi conseillé de briser le jeûne avec un bon gras des noix, par exemple et non des la journée avec du sucre va donner envie à ton corps d'en consommer plus pendant la journée. Après avoir brisé mon jeûne, j'essayais d'y aller avec une recette santé de Cath fait de ne pas pouvoir grignoter en soirée m'a vraiment fait réaliser à quel point les snacks en soirée ne sont pas nécessaires et clairement pas demandés par notre estomac mais plutôt notre ma grande surprise, j'ai noté un changement majeur dès les premiers jours. On ne parle pas de silhouette, mais plutôt de mon corps. Alors que j'avais peur que le jeûne me fasse avoir des gros craves, le contraire s'est produit. J'ai éliminé complètement les rages de sucres et down d'énergie que j'avais en après-midi qui me faisaient réclamer du sucre ou du café. J'avais tellement plus envie de sucre que j'ai dû congeler des fruits que j'allais perdre, chose que je n'aurais jamais faite première semaineMa première semaine s'est très bien déroulée et j'ai arrêté de me sentir ballonnée. Alors que j'ai commencé ce type d'alimentation en revenant de vacances - et donc d'une semaine d'excès pour mon corps - j'ai rapidement perdu les 5lb que j'avais prises lors de cette dure jour 10 a été plutôt difficile, alors que j'ai dû briser mon jeûne à cause d'un souper d'amis et d'un anniversaire qui se prolongeait jusqu'aux petites heures du matin. Voulant vivre le jeûne intermittent comme mode de vie et non comme diète stricte et frustrante, j'ai décidé de le briser, et d'ailleurs m'autoriser ce genre de bris une fois de temps à autre pour ne pas vivre de frustrations, un peu comme se permettre un cheatday dans une autre que j'ai trouvé difficile, c'est la limite. Je m'autorise à prendre un verre entre amis, mais là il y a un bol de chips sur la table, est-ce que je m'y autorise aussi?J'ai trouvé ce débat avec moi-même assez pénible alors que toute ma relation avec la nourriture a été remise en question à chaque écart. S'il y a une chose que je ne veux pas développer, c'est bien une relation malsaine avec les aliments et un sentiment de culpabilité. Toutefois, j'ai quand même essayé de compenser en mangeant mon premier repas autour de 13h30 le expérience d'un mois et le verdictPar moment, c'était vraiment difficile alors que j'ai dû refuser beaucoup d'invitations. Le plus gros problème de ce mode de vie, je dirais que c'est la gestion de la tellement habituée de me lever et ne pas manger au réveil, qu'il y a une fin de semaine où j'ai passé 21 heures à jeûner sans même m'en rendre compte... Je ne suis pas certaine que c'est très bon pour notre corps, je conseillerais donc aux gens qui optent pour ce mode de vie d'avoir une meilleure structure que manière générale, j'ai trouvé difficile par moment de ne pas déjeuner ; j'adore déjeuner, c'est mon repas préféré. Par contre, les bienfaits étaient tellement nombreux que ça me suffisait cinq semaines, j'ai vu une amélioration sur mon énergie, sur ma silhouette, et sur ma santé. Malgré la relation difficile que j'avais avec les aliments par certains moments, j'ai trouvé que les bienfaits étaient plus présents que les toutefois dû arrêter car je partais en voyage, et j'ai réalisé que ce mode de vie s'adaptait mal au mien l'été. L'hiver, je travaille comme entraîneuse d'équipe sportive cinq soirs par semaine en plus de mon 40 heures habituel chez Narcity. La discipline y est. Mes trois mois où j'ai moins d'obligations l'été 1 à 3 pratiques/semaine, j'en profite pour terrasser, sortir, faire des activités plein air... Pas question d'aller faire du kayak au soleil le ventre vide!Pour ce qui est de la perte de poids, raison pourquoi plusieurs l'essayent, je dirais que c'est vrai. J'ai toutefois repris ces quelques livres quand j'ai recommencé à m'alimenter normalement, c'est donc une alternative pour la perte de poids qui doit être pratiquée sur le long terme. À mes yeux, ça ne vaut pas la peine de faire une telle diète seulement pour perdre des kilos, si ce n'est pas dans ton intention d'en faire un mode de vie. Personellement, je crois que les gens qui voudraient essayer ce mode de vie devraient commencer par une fenêtre 12-12, pour ensuite y aller avec du 11-13, et etc. Y aller de manière drastique ne semble pas du tout une bonne comme l'a mentionné Cynthia Marcotte, je ne recommande pas le jeûne à toute personne pouvant présenter des troubles alimentaire, ou ayant un passé de troubles alimentaires. J'ai bien compris où elle voulait en venir alors que je me suis souvent retrouvée dans des débats avec moi-même. La privation et la culpabilité ne devraient pas faire partie du quotidien. Si faire le jeûne est une torture et un sentiment de privation constant, ce n'est définitivement pas pour ça t'intéresse d'essayer le jeûne intermittent, je t'invite à en parler avec un nutritionniste d'abord, et aussi à regarder les vidéos de la nutritionniste Cynthia Marcotte.
Quand elle a ses règles et jusqu’à sept jours après leur fin, une femme juive observante s’abstient de tout contact avec son époux. Le soir suivant, après le coucher du soleil, elle se rend au mikvé, le bain rituel qui jouxte la synagogue, pour un rituel précisément décrit par les lois dites de niddah ou de pureté familiale ». Après s’être longuement lavée, elle descend les marches qui conduisent au bassin doigts écartés, yeux clos, elle s’immerge entièrement et à plusieurs reprises en prononçant des bénédictions. Pourquoi cette universalité de la terreur provoquée par cette hémorragie périodique ? », s’interroge l’historien Albert Samuel, qui liste ces civilisations - des Grecs aux Tsiganes, des Yorubas aux Falachas - dans lesquelles les femmes ne peuvent allaiter, avoir des relations sexuelles ou cuisiner sous peine de contaminer » leur maisonnée 1. Tout aussi étonnant est d’observer le nombre et la diversité des religions qui ont consacré et sacralisé ces préjugés et ces coutumes ». Ce fut le cas autour des autels grecs ou chez les mazdéens. Aujourd’hui encore, une tradition hindoue bannit les femmes de leur foyer le temps de leurs tabou des règlesÀ travers les prescriptions du Lévitique, la Bible elle aussi intègre le tabou des règles et le ritualise Quand une femme est atteinte d’un écoulement, que du sang s’écoule de ses organes, elle est pour sept jours dans son indisposition, et quiconque la touche est impur jusqu’au soir. » Dans l’islam, un fameux hadith - propos prêté au prophète Mohammed ou à ses compagnons - témoigne de cette même aversion et de l’inégalité qu’elle induit généralement La femme est en religion inférieure à l’homme du fait qu’elle ne prie ni ne jeûne durant ses règles ».Plusieurs interprétations sont proposées par les chercheurs en sciences humaines. S’approcher de la divinité suppose généralement une forme de pureté, pour les hommes comme pour les femmes se livrer à des ablutions, quitter ses vêtements quotidiens et en endosser d’autres neufs souvent blancs, parfois raser ses cheveux ou sa barbe, se couper les ongles, et presque toujours s’éloigner de la mort et de la rites plus exigeants pour les femmesMais partout, les rites de purification sont plus répandus et plus exigeants pour les femmes, en particulier lorsqu’elles se présentent lors de leurs menstrues et de leurs couches, comme un être blessé et sanglant ... dont le simple contact entraîne souillure », constate la philosophe Arlette Fontan, qui cherche les origines de cette assimilation sang/souillure » dans les grands mythes fondateurs, ou alors dans un rapport analogique entre sang, blessure, violence et mort » 2.Anthropologue des religions, Anne-Laure Zwilling se réfère volontiers aux travaux de l’ethnologue Françoise Héritier pour tenter d’expliquer la fascination pour ce sang qui affaiblit mais sans provoquer la mort et suggère finalement l’extrême puissance » des femmes 3. Avant de comprendre la fécondité, on pensait qu’elles en étaient les seules maîtresses », rappelle cette spécialiste, pour qui l’ inquiétude fondamentale » des hommes explique la prégnance de ces structures sociales censées leur enlever » ou au moins encadrer » leur puissance. Le statut différent donné aux femmes ménopausées et l’absence de rites les concernant sont bien la preuve, pour Agnès Fine, anthropologue elle aussi, que la capacité procréatrice des femmes est bien en cause ».Le christianisme un peu à partLe christianisme tient une place un peu à part dans ce paysage... mais pas complètement. Alors que Jésus, dans les Évangiles, prend explicitement ses distances avec les règles juives, se laissant toucher par la femme hémorroïsse, et affirmant que la pureté ne vient pas du corps mais de ce qui sort du cœur de l’homme, celles-ci ont continué à imprégner les mentalités, et même à faire leur retour dans le rituel romain. Une femme qui venait d’accoucher ne pouvait pas réintégrer la communauté avant d’avoir ’fait ses relevailles’ », rappelle Agnès Fine qui a consacré sa thèse au parrainage et travaillé sur le baptême chez les catholiques. Quarante jours après l’accouchement, elle allait à l’église le prêtre venait la chercher à l’extérieur et l’emmenait vers le chœur la bénir », poursuit l’anthropologue, qui a également entendu le témoignage de marraines ayant fait repousser la date du baptême en raison de leurs règles ». L’obsession du corps des femmes »Aujourd’hui encore, certains interdits prévalent au sein des Églises orthodoxes, comme dans la plupart des systèmes de pensée et des religions. Petit à petit, les travaux menés par les chercheurs en sciences humaines poussent théologiens et théologiennes à reprendre la question. Le rabbin libéral Delphine Horvilleur, qui explore les notions de pudeur et l’obsession du corps des femmes », en est un exemple parmi d’ la théologienne protestante Élisabeth Parmentier, le vecteur principal de ce changement est la lecture biblique dans une perspective historico-critique qui met l’accent sur le contexte d’origine et les intentions premières des récits bibliques » 2. Tout le monde n’a pas lu Françoise Héritier mais nous avons un peu plus de distance critique sur des discours qui écartent les femmes de certains lieux », appuie l’anthropologue Anne-Laure Zwilling. Nous réalisons que des modes de pensée qui ont eu une utilité sociale pour régler une angoisse profonde ne l’ont plus aujourd’hui ». Et qu’il nous faut lui trouver d’autres réponses aujourd’ des Pères de l’Église parlaient des règles• Saint Denis d’Alexandrie IIIe siècle La femme qui a ses règles ne doit pas s’approcher de la Sainte Table, ni toucher le Saint des Saints, ni aller dans une église, mais doit prier ailleurs ».• Saint Jérôme IVe-Vème siècles Quand un homme a des rapports avec sa femme pendant cette période, il lui naît des enfants lépreux ou hydrocéphales ; souillés par ce sang impur, les corps des deux sexes deviennent soit trop gros soit trop petits » Commentaires sur Ézéchiel, 18, 6.•Albert le Grand 1200-1280 La femme est moins qualifiée que l’homme pour la morale. Car la femme contient plus de liquide, et c’est une caractéristique des liquides d’absorber facilement, mais de mal retenir. … La femme est un homme raté, par rapport à l’homme, elle ne possède qu’une nature défectueuse et imparfaite » Quaestiones super de animalibus XV.•Huguccio, évêque de Ferrare 1140-1210 Quoique la femme ne commette, en effet, pas de faute dans le fait d’avoir ses règles, elle doit cependant reconnaître qu’elle souffre de ceci à cause du péché originel et elle peut donc, par humilité, s’abstenir quelque temps des sacrements ». Summa Decretorum.-Sexe faible ? Les discours culpabilisants viennent parfois des femmes elles-mêmes ! »Yamina Amzal, 46 ans, enseignante à l’université Seine-Saint-Denis Née en Algérie, je suis venue en France en 2002, en quête de liberté. Mais quand je vois, aujourd’hui en Seine-Saint-Denis, des fillettes voilées à moins de 10 ans, je me dis qu’elles ont dû entendre ici le même discours que moi là -bas… Un épisode de ma jeunesse m’a marquée. C’était en 1991, au début de la décennie noire algérienne. J’étais au lycée quand la nouvelle prof de sciences a demandé aux filles d’aller s’asseoir derrière les garçons dans la classe d’après elle, notre présence les excitait » ! Cela a été un choc et nous avons tous, garçons et filles, refusé d’être séparés, allant jusqu’à faire qui m’attriste le plus, encore aujourd’hui, c’est que ces discours culpabilisants puissent venir des femmes. Cela dit, nous avons été nombreuses à résister, comme quand j’étais étudiante à Alger et que des salafistes nous menaçaient à la sortie des cours, nous demandant de nous voiler. La solution viendra des femmes, et la révolte actuelle des Tunisiennes et de la jeunesse algérienne me donne beaucoup d’espoir.
quand reprendre le jeune après les règles