Film2001, l'odyssée de l'espace. Genre : Anticipation Durée : 140 minutes Réalisateur : Stanley Kubrick Avec Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester, Leonard Rossiter, Margaret Tyzack, Robert Beatty, Sean Sullivan, Daniel Richter, Alan Gifford, Douglas Rain Nationalité : Etats-Unis Année : 1968. Résumé. À l'aube de l'humanité. Quatre millions
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AccueilFilms 2001 : L’ODYSSÉE DE L’ESPACE. SAGA STANLEY KUBRICK proposée par votre cinéma la Grange. Science fiction. Date de reprise 13 juin 2018. De Stanley Kubrick. Par Arthur C. Clarke, Stanley Kubrick. Avec Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester. A l’aube de l’Humanité, dans le désert africain, une tribu de primates subit les assauts
LesFilms de Stanley Kubrick: Affiches Cinéma, Bandes Annonces, Photos de film, Dossiers de Presse, Plv. Resultat de votre Recherche des Films de Stanley Kubrick. Genre: 2001 : L'odyssée de l'espace / 2001 : A SPACE ODYSSEY . Stanley Kubrick Affiche Pliée format 53x40 prix : 12.00 € Etat : A. Fantastique / Science Fiction: 2001 l'odyssée de l'espace /
Afficheoriginale française du film de Stanley Kubrick 2001: l'odyssée de l'espace de 1968, par Robert T. McCal, édition CINERAMA-Posterissim. Produit ajouté au panier avec succès Il y a 0 produits dans votre panier. Il y a 1 produit dans votre panier. Quantité. Total. Continuer Commander € $ € CHF £ Appelez-nous : +32 (0)498 20 40 80 Achat - vente d’affiches
rlMmc9. FilmsAffiche de FilmCréé par Nick Barclay
Accueil Cinémas Science-fiction 2001, l'odyssée de l'espace De Stanley Kubrick 1968 Le film Voir les séances 5 avis Cinémas Science-fiction 2h21 Réédition Réalisation Stanley Kubrick Principaux artistes Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester, Daniel Ritcher Genre Science-fiction Titre original 2001 A Space Odyssey Nationalité Etats-Unis, Royaume-Uni Durée 2h21 Année de réalisation 1968 Date de sortie 13 juin 2018 Date de première mise en salle 27/09/1968 Distributeur Warner Bros - MGM 30 / 09 / 1968 Présentation À l'aube de l'humanité, des singes anthropoïdes vivent dans un milieu hostile et violent. Quelques-uns d'entre eux découvrent un jour un énigmatique monolithe noir, tombé du ciel, qui semble modifier leur comportement. Soudain inspiré, l'un de ces primates crée le premier outil avec un os et s'en sert pour chasser et se défendre. Des millénaires plus tard, en 2001, le docteur Heywood Floyd se dirige vers la Lune à bord d'un vaisseau spatial. Il est chargé d'une mission confidentielle il doit enquêter sur un monolithe découvert au cours de fouilles dans le cirque lunaire de Tycho. Selon les premières observations, l'objet émettrait un signal des Meilleurs effets spéciaux en 1968, 2001, l’odyssée de l’espace est un classique du cinéma de science-fiction. Le tournage fut particulièrement long et nécessita la consultation de nombreux experts scientifiques de différents domaines. Neuvième long-métrage de Stanley Kubrick, le film fut un grand succès commercial et critique. Casting Réalisation Stanley Kubrick Distribution Keir Dullea Dave Bowman, Gary Lockwood Frank Poole, William Sylvester Heywood R Floyd, Daniel Ritcher Moonwatcher, Leonard Rossiter Andrei Smyslov, Margaret Tyzack Elena, Robert Beatty Ralph Halvorsen, Sean Sullivan Bill Michaels, Bill Weston l'astronaute, Ed Bishop le capitaine d'Aries-1B, Alan Gifford le père de Poole, Ann Gillis la mère de Poole Casting technique Stanley Kubrick Scénario, Geoffrey Unsworth Direction artistique, Arthur C Clarke Scénario original, Arthur C Clarke Scénario Derniers avis Avis publié par Nicholas le 14 août 2021 Le slogan pour Forrest Gump était que si vous n'aviez pas vu le film, ce serait vous l'imbécile à supposer que Forrest Gump en était un. Si vous n'avez pas vu 2001, l'Odyssée de l'Espace, vous en serez un également, selon les mêmes standards. Pour ceux qui ne comprennent pas la fin et c'est normal il faut avoir lu le livre de Clarke, la/les puissances extra-terrestres vous verrez bien laquelle/lesquelles rembobine biologiquement l'astronaute pour le comprendre ce qui explique le bébé. Ce film est un must, pas entâché par un nobody journaliste d'un torchon anglais qui, furieux de s'être vu refuser un interview par Clarke, avait diffamé ce dernier de pédophilie Comme quoi, il n'y a pas qu'un entrepreneur d'entreprise de rocketry qui se laisse aller à ce genre de sa-p-rie avant de "retrouver la foi en l'Humanité" après avoir gagné le procès et s'être excusé sans une miette de pain perdue que le spéléologue accusé lui avait à juste titre intenté; espérons pour la postérité de Clarke, que le choix différent de ce dernier de traiter ce genre de chose par le mépris, lui soit aussi, et davantage, heureux que le sort du spéléologue. En attendant, allez voir le film. Avis publié par Christophe le 18 juillet 2018 Film intéressant, mais pas passionnant, film froid, pour lequel j'ai du mal à comprendre l'engouement. Mais je ne suis pas un fan hardcore de Kubrick, ceci expliquant peut-être cela? bien que je préfère Shining, Full metal jacket ou Barry Lindon à 2001. Avis publié par Remy le 23 mai 2018 Le film date des années 60 il n’a pas pris une ride. Les décors sont fabuleux. Ce film présente 40 ans avant sa commercialisation l’iPhone et l’iPad d’Apple. L’histoire est bluffante. LE trésor de Stanley ! Son Chef d’Oeuvre. Avis publié par matti jarvinen le 22 décembre 2017 Vu et revu en salle et en dvd. Toujours un très grand film, mon préféré avec "Barry Lyndon" parmi les films de Stanley Kubrick, mais "Shining" et "Dr Folamour"... et il faudrait revoir "Lolita". Avis publié par David le 26 juin 2017 Un chef-d'oeuvre. Seul un génie peut faire d'un ordinateur un personnage aussi émouvant. À voir également... 5 avis sur 2001, l'odyssée de l'espace Avis publié par Nicholas le 14 août 2021 Le slogan pour Forrest Gump était que si vous n'aviez pas vu le film, ce serait vous l'imbécile à supposer que Forrest Gump en était un. Si vous n'avez pas vu 2001, l'Odyssée de l'Espace, vous en serez un également, selon les mêmes standards. Pour ceux qui ne comprennent pas la fin et c'est normal il faut avoir lu le livre de Clarke, la/les puissances extra-terrestres vous verrez bien laquelle/lesquelles rembobine biologiquement l'astronaute pour le comprendre ce qui explique le bébé. Ce film est un must, pas entâché par un nobody journaliste d'un torchon anglais qui, furieux de s'être vu refuser un interview par Clarke, avait diffamé ce dernier de pédophilie Comme quoi, il n'y a pas qu'un entrepreneur d'entreprise de rocketry qui se laisse aller à ce genre de sa-p-rie avant de "retrouver la foi en l'Humanité" après avoir gagné le procès et s'être excusé sans une miette de pain perdue que le spéléologue accusé lui avait à juste titre intenté; espérons pour la postérité de Clarke, que le choix différent de ce dernier de traiter ce genre de chose par le mépris, lui soit aussi, et davantage, heureux que le sort du spéléologue. En attendant, allez voir le film. Avis publié par Christophe le 18 juillet 2018 Film intéressant, mais pas passionnant, film froid, pour lequel j'ai du mal à comprendre l'engouement. Mais je ne suis pas un fan hardcore de Kubrick, ceci expliquant peut-être cela? bien que je préfère Shining, Full metal jacket ou Barry Lindon à 2001. Avis publié par Remy le 23 mai 2018 Le film date des années 60 il n’a pas pris une ride. Les décors sont fabuleux. Ce film présente 40 ans avant sa commercialisation l’iPhone et l’iPad d’Apple. L’histoire est bluffante. LE trésor de Stanley ! Son Chef d’Oeuvre. Avis publié par matti jarvinen le 22 décembre 2017 Vu et revu en salle et en dvd. Toujours un très grand film, mon préféré avec "Barry Lyndon" parmi les films de Stanley Kubrick, mais "Shining" et "Dr Folamour"... et il faudrait revoir "Lolita". Avis publié par David le 26 juin 2017 Un chef-d'oeuvre. Seul un génie peut faire d'un ordinateur un personnage aussi émouvant. Nota Bene pour être publié, le contenu de votre avis doit respecter nos conditions générales d'utilisation. Newsletter Chaque mercredi, le meilleur des sorties culturelles à Paris. Réseaux sociaux Suivez-nous sur Instagram, Facebook ou Twitter
Oui, des fois Ar’Kady votre guide cinématographique a des fixettes étranges. Après avoir traversé une période films de guerre », puis une de films de pompiers », me voilà donc dans une période films dans l’espace ». Alors quitte à les enchaîner, autant partager avec vous ce petit top de mes films préférés se passant dans l’espace. Nota 1 je ne fais pas de classement particulier entre ces films certains étant très difficiles à comparer. Je vous les présente juste du plus ancien au plus récent ! Nota 2 je ne prends en compte pour ce classement que des films de style huis-clos » avec peu de personnages et dont l’essentiel de l’action se passe dans l’espace et/ou la survie dans l’espace est un enjeu important. Ne sont donc pas pris en compte les saga SF type Star Trek, Gardiens de la Galaxie ou Star Wars. Ni les films du type Valérian, Avatar… qui se passent certes dans l’espace mais où celui-ci n’est pas une forme d’enjeu à proprement parler. /!\ SPOILERS éventuels, si vous n’avez pas vu le film cité, n’hésitez pas à passer au suivant. Vous êtes prêts ? Alors montez avec moi dans ce vaisseau spatial et allons explorer les étoiles ! 2001 l’odyssée de l’espace, de Stanley Kubrick 1968 Affiche du film 2001 l’Odyssée de l’Espace En 2001, un vaisseau spatial évolue en orbite lunaire. À son bord, le Dr. Heywood Floyd enquête secrètement sur la découverte d’un monolithe noir qui émet d’étranges signaux vers Jupiter. Dix-huit mois plus tard, les astronautes David Bowman et Frank Poole font route vers Jupiter à bord du Discovery. Les deux hommes vaquent sereinement à leurs tâches quotidiennes sous le contrôle de HAL 9000, un ordinateur exceptionnel doué d’intelligence et de parole. Cependant, HAL, sans doute plus humain que ses maîtres, commence à donner des signes d’inquiétude à quoi rime cette mission et que risque-t-on de découvrir sur Jupiter ? L’incontournable du genre. Peut-être même l’un des réels premiers films de science-fiction. Il aura marqué et continuera de marquer des générations, laissant le public parfois dubitatif, mais aussi clairement admiratif. Le film a de nombreux atouts une réalisation hors-norme, une bande-sonore et une ambiance qui apportent cette tension qui ne rend pas indifférent, un rythme parfois trop lent, une séquence d’anthologie entre Dave et Hal. » Mais pêche aussi de par son manque de compréhension. Personne ne peut dire après le premier visionnage avoir tout compris du film. Et pourtant il s’est hissé sans mal en tête des meilleurs films de son époque et le reste encore aujourd’hui. Un immanquable donc. Qu’il était impossible de ne pas mettre dans ce top. Alien – le 8ème passager, de Ridley Scott 1979 Affiche du film Alien le huitième passager À bord du Nostromo, cargo spatial en mission commerciale de routine, l’équipage est plongé dans un profond sommeil. Mais ils sont tirés de leur hibernation par l’ordinateur de bord. Celui-ci a en effet capté des signaux radio inconnus dans l’espace. Or l’équipage du vaisseau s’avère tenu de vérifier tout indice de vie extraterrestre. Au cours de cette vérification, tout tourne au cauchemar, l’officier Kane se fait attaquer par une forme de vie inconnue et son retour sur le vaisseau signe la contamination de celui-ci par une forme de vie mortelle. Commence alors un macabre jeu du chat et de la souris entre l’équipage et l' »Alien ». Classique parmi les classiques, le premier opus de la saga Alien qui compte 6 films et deux cross-over avec la saga Predator est un incontournable du genre. Huis-clos haletant et terrifiant, la course poursuite entre l’équipage qui tente de sauver sa peau et l’Alien qui veut les détruire en aura marqué plus d’un. D’autant que Ridley Scott sait jouer comme personne avec le suspense. Et l’Alien, bien que craint de long en large durant le film, n’est finalement pas le personnage le plus vu à l’écran. Au final, Alien est un classique, entre le film d’action, le film d’horreur et le film de SF. À voir à tout prix ! Apollo 13, de Ron Howard 1995 Affiche du film Apollo 13 Houston, nous avons un problème », c’est la phrase qui, le 13 avril 1970 a 21h07, fit sursauter les hommes qui surveillaient un vol de routine du vaisseau Apollo 13 » depuis la salle de contrôle de la NASA. Un des réservoirs d’oxygène venait d’exploser à la 55e heure du vol et à 205 000 miles de la Terre. Inspiré du’un histoire vraie, Ron Howard offre ici un excellent film hommage aux membres de la mission Apollo 13. Si le film souffre de quelques longueurs, le casting, le réalisme et les images de l’espace permettent conserver le spectateur au cœur de l’intrigue. On craint avec l’équipage qu’ils ne reviennent pas. On vit avec eux les différents tests pour régler les problèmes. Et on tremble avec eux du possible échec. Bref, le film nous tiens assez bien en haleine pour au final oublier les longueurs et les dialogues parfois un peu convenu. Il reste en outre l’un des classiques parmi les films marrant la grande épopée de l’Espace. Perdus dans l’espace, de Stephen Hopkins 1998 Affiche du film Perdus dans l’Espace 2050, épuisée sous l’action combinée de l’effet de serre et de la pollution, la planète Terre est à bout de course. Il ne reste qu’un seul espoir à l’humanité coloniser Alpah Prime, la planète habitable la plus proche du système solaire, à dix années-lumière. John Robinson, éminent scientifique est désigné pour mener à bien une mission de reconnaissance. Il décide alors d’emmener avec lui toute sa famille. Il ignore néanmoins que le docteur Zachary Smith, à la solde de la rébellion, s’est introduit dans leur vaisseau spatial. Si les effets spéciaux n’ont pas forcément bien vieillit, l’idée de départ de ce film s’avère toujours bien ficelée. Si bien que Netflix en a fait un remake en série en 2018. Plutôt décrié par la critique à cause de quelques incohérences scientifiques mais quel film de science-fiction ne présente pas d’incohérences ? ou d’un ton trop léger, il n’en reste pas moins un bon film familial, pas prise de tête, avec de l’humour et de l’action. Bref, à regarder quand on ne veut pas se prendre la tête ni trop stresser. Moon, de Duncan Jones 2010 Affiche du film Moon Sam Bell vit depuis plus de trois ans dans la station lunaire de Selene. Là -bas il gère l’extraction de l’hélium 3, seule solution à la crise de l’énergie sur Terre. Il souffre en silence de son isolement et de la distance le séparant de sa femme et de sa fille. Mais quelques semaines avant la fin de son contrat pour l’entreprise Lunar, Sam se met à voir et à entendre des choses étranges… D’abord convaincu que son isolement y est pour quelque chose, il se retrouve malgré tout à enquêter. Ce qu’il va découvrir va bouleverser tout ce qu’il pensait savoir… Sam Rockwell porte le film sur ses épaules, littéralement vu qu’il est le seul acteur visible de tout le film. Moon est un thriller palpitant qui même si il manque un peu d’action parfois fera naître de nombreuses questions pour le spectateur. Le film sort des sentiers battus et ose ce qui n’avait encore jamais été fait. Plus psychologique que d’action, il bénéficie tout de même d’une superbe ambiance, d’images spectaculaires et d’une musique qui colle parfaitement aux situations. S’il n’est à ce jour pas rentré dans les classiques de SF il mérite parfaitement sa place dans cette liste. Après tout, il est sans doute celui qui colle le mieux à la définition de huis-clos dans l’espace. Apollo 18, de Gonzalo Lopez-Gallego 2011 Affiche du film Apollo 18 Officiellement, Apollo 17 fut le dernier voyage sur la lune organisé par la Nasa en 1972. La mission Apollo 18, annulée pour des raisons budgétaires », a en fait eu lieu secrètement l’année suivante. Les images qui en furent rapportées, et qui ont été retrouvées, révèlent une réalité que la NASA essaie de nous cacher depuis 40 ans… C’est pour ça qu’aucun autre astronaute n’y est retourné depuis cette époque. Thriller angoissant à souhait et à la limite de l’épouvante Apollo 18 est tourné comme un documentaire présentant de réelles images filmées durant cette mission top secrète et dont les vidéos retrouvées quelques temps plus tard, auraient ainsi servi à l’élaboration du film. Celui-ci s’avère être un excellent film avec une ambiance unique glaçante, angoissante, percutante et très prenante. Particulièrement descendu par la critique spectateur pour n’être qu’une version dans l’espace d’un Paranormal Activity, je trouve d’un point de vue personnel que ce film mérite au moins d’être vu une fois, ne serait-ce parce qu’il apporte une ambiance anxiogène créée par la solitude et l’éloignement qui saura vous faire frissonner et angoisser. Et pourtant, je ne suis pas une grande fan des films d’épouvante. Gravity, de Alfonso Cuarón 2013 Affiche du film Gravity Pour sa première expédition à bord d’une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l’astronaute chevronné Matt Kowalsky. Mais alors qu’il s’agit apparemment d’une banale sortie dans l’espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l’univers. Le silence assourdissant autour d’eux leur indique qu’ils ont perdu tout contact avec la Terre – et la moindre chance d’être sauvés… Pourtant, ils refusent de baisser les bras, quitte à s’enfoncer encore plus loin dans l’espace sombre et insondable. J’ai eu l’occasion de voir ce film en salle et en 3D. Et pour une fois, la 3D en rajoute vraiment, au point de nous donner le vertige. Il ne faut pas non plus être claustrophobe pour voir ce films tant l’angoisse de Sandra Bullock, coincée dans son scaphandre et incapable de contacter la Terre se transmet au spectateur qui tremble avec elle. En outre, Gravity offre réellement des images à couper le souffle, accompagnée d’une musique discrète mais suffisante pour mettre l’ambiance. Un film à conseiller pour tous ceux voulant affronter l’insondable espace et le vide qui s’en dégage. Interstellar, de Christopher Nolan 2014 Affiche du film Interstellar Dans un futur proche, la Terre est devenue de moins en moins accueillante pour l’humanité plongée dans une grave crise alimentaire. Cooper, ancien pilote de la NASA devenu agriculteur, vit dans une ferme avec sa famille. Sa fille Murphy, âgée de dix ans, croit leur maison hantée par un fantôme voulant communiquer avec elle. En suivant les indications du fantôme » Cooper découvre de vieilles installations de la NASA et une équipe qui s’apprête à aller explorer un trou de ver près de Saturne. Le but de la NASA et de cette mission est de sauver l’humanité en trouvant une autre planète habitable. Ce trou de ver serait le moyen d’atteindre relativement rapidement, sans voyages intersidéraux de plusieurs millénaires, de nouvelles planètes dans une autre galaxie. Cooper accepte la mission et s’embarque pour ce périlleux voyage. Visuellement le film est magnifique. Scénaristiquement il s’agit d’un des chefs d’œuvre de Nolan. Malheureusement pour moi, comme beaucoup de Nolan Inception, Shutter Island, Memento, j’ai du mal à suivre toute l’histoire. Le film n’en reste pas moins le chef d’œuvre de son époque encensé par la critique et les spectateurs. Mais un peu à l’image de son précurseur 2001 l’Odyssée de l’espace », nombreux sont ceux ressortis de la projection avec une foule de questions. En effet, si le début du film et la problématique globale s’avèrent assez aisé à suivre, le dénouement reste obscur, sans doute à la libre interprétation de chacun, comme sait si bien le faire Nolan. Pour autant, ce film n’est pas à bouder, bien au contraire. Vous n’en ressortirez pas indemne, c’est tout ! Seul sur Mars, de Ridley Scott 2015 Affiche du film Seul sur Mars Lors d’une expédition sur Mars, l’astronaute Mark Watney est laissé pour mort par ses coéquipiers, une tempête les ayant obligés à décoller en urgence. Mais Mark a survécu et il est désormais seul, sans moyen de repartir, sur une planète hostile. Il va devoir faire appel à son intelligence et son ingéniosité pour tenter de survivre et trouver un moyen de contacter la Terre. À 225 millions de kilomètres, la NASA et des scientifiques du monde entier travaillent sans relâche pour le sauver. Pendant ce temps ses coéquipiers tentent d’organiser une mission pour le récupérer au péril de leurs vies. Passé le coté dramatique de la situation, et même si le film envoi du lourd coté image et casting, il souffre tout de même d’un point négatif assez important aucune angoisse. Passé la constatation de son abandon, Matt Damon devient le petit génie qui trouve réponse à tout. Qui n’abandonne jamais et se paye même le luxe d’être arrogant. Ce qui sort un peu le spectateur de son empathie envers lui. En effet difficile de craindre pour sa vie lorsqu’on le voit résoudre les problèmes les uns après les autres à vitesse grand V. Le film offre quand même une touche d’humour, quelques clins d’œil ici et là à la pop culture et une ambiance musicale pour le moins… déconcertante. À voir, au moins une fois, parce que c’est un Ridley Scott après tout ! Passengers, de Morten Tyldum 2016 Affiche du film Passengers L’ Avalon », fait route vers une lointaine planète colonisée. À son bord, plus de 5 000 passagers sont en sommeil dans des capsules d’hibernation, pour ce voyage d’une durée de 120 ans. Mais, l’une de ces capsules connaît un problème et réveille son occupant, Jim Preston, 90 ans trop tôt. Très vite, il découvre qu’il n’y a aucun autre passager éveillé à bord. Et il ne peut retourner dans sa capsule, ni réveiller l’équipage. Après des mois de désœuvrement à bord du vaisseau, il découvre alors que celui-ci court un grave danger. La vie des milliers de passagers est désormais entre ses mains… Jennifer Lawrence et Christ Pratt offrent une très belle prestation dans ce film et leur duo fonctionne à merveille. De découvertes en rebondissements, le film maintient le spectateur en alerte du début à la fin. Et si le scénario de celui-ci est somme toute assez banal, l’ambiance et les décors ahurissants cassent la monotonie. Bref, un film familial et plein de surprise qui vaut le coup d’œil. Bonus. Quelques films qui tournent autour de l’Espace, sans être réellement des films de science-fiction ou des huis-clos. Mais qui font tout de même partis des films qui m’ont marquée. Armageddon, de Michael Bay 1998 Affiche du film Armageddon Pas vraiment un huis-clos puisqu’une grande partie du film se passe sur Terre comme pour Apollo 13 ou Seul sur Mars. Mais avec un enjeu autour de l’espace puisqu’un astéroïde meurtrier fonce droit sur la Terre. Et seule une petite équipe de foreurs menée par Bruce Willis et Ben Affleck peut faire quelque chose. Plus film d’action que film de science-fiction, celui-ci n’en reste pas moins un des incontournables du genre pour qui aime Michael Bay. Toute l’intrigue tourne quand même autour de l’espace et de la destruction de cet astéroïde qui vient anéantir l’espèce humaine. Les Figures de l’Ombre, de Theodore Melfi 2016 Affiche du film Les Figures de l’Ombre Pas d’images d’espace dans le film. Son sujet principal est la NASA et la course à la Lune du temps de la Guerre Froide. Les personnages principaux sont des femmes, ces fameuses figures de l’ombre ». À l’époque des débuts de l’ordinateur, il fallait bien quelqu’un pour calculer à la main toutes les trajectoires des fusées et autres calculs indispensables pour envoyer une équipe dans l’espace. Inspiré de l’histoire vraie des trois plus célèbres calculatrices de la NASA, le film raconte autant l’histoire de cette course à la Lune face à l’URSS et que le combat de ces femmes noires pour se faire reconnaître et gagner leur place dans la grande institution qui les embauche. À conseiller pour tous ceux intéressés par l’envers du décors ». First-Man – Le premier homme sur la Lune, de Damien Chazelle 2018 Affiche du film First Man, le premier Homme sur la Lune Le film retrace la vie de Neil Armstrong, de ses débuts à la NASA jusqu’à son premier pas sur la Lune. Plus documentaire que réel film de science-fiction et encore moins huis-clos, il permet néanmoins de comprendre tout le chemin parcouru pour arriver à réaliser un tel exploit. Et pour apprendre à connaitre l’homme derrière la Légende. Un film intéressant à voir qui permet de recontextualiser toute la vie d’Armstrong et d’en découvrir plus. Là encore un film à conseiller pour voir l’envers du décors ». Et découvrir tout ce qu’on ne sait pas sur la NASA et ces héros de l’espace. Et vous ? Quels sont vos films dans l’espace préférés ? N’hésitez pas à voter au sondage ou à laisser un commentaire pour nous le dire.
Image n° 346763 Poster 2001, l'Odyssée de l'espace anglais - 1968 © Everett Collection Choisir une variante Poster 20 x 30 cm Cadre Période de livraisonlun. - mer. 9,95 € Prix TTC, hors frais de livraison Ajouter au panier Paiement sécurisé Retour sous 100 jours Frais de port dès 2,95 € Impression à la demande Informations sur le produit Impression sur papier épais 250 g/m² Éclat maximal des couleurs et haute résistance aux UV Rendu légèrement brillant Aspect élégant grâce à un bord blanc de 3 mm Soigneusement emballé et protégé D’autres clients ont également acheté Poster 2001, l'Odyssée de l'espace anglais dès 9,95 € Poster 2001, l'Odyssée de l'espace anglais dès 9,95 € Poster 2001, l'Odyssée de l'espace anglais dès 11,95 € Poster 2001, l'Odyssée de l'espace anglais dès 9,95 €
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