C est une campagne de vaccination particulière qui débutera le 26 octobre prochain. Les scientifiques redoutent que la grippe ne frappe plus fort cet hiver que l’année précédente. Autre
Lagrippe aviaire va bouleverser le secteur du foie gras pour plusieurs mois encore. Une reprise normale de l’élevage est attendue au début de l’année 2024.
Personnen’en parle cette année ! C’est pourÂtant une malaÂdie qui tue en moyenne 10 000 perÂsonnes par an en France sur 2 à 6 milÂlions de perÂsonnes infecÂtées Par exemple, en 2019, 8 800 perÂsonnes étaient décéÂdées suite à l’éÂpiÂdéÂmie de grippe. A la même époque en 2018, ils étaient un peu plus nombreux. En 2018–2019 l’éÂpiÂdéÂmie de grippe a été
CETTEANNÉE ENCORE, LA GRIPPE VA FAIRE TRÈS MAL. FLY GRIP - 07/19 En complément du vaccin, apprenez les gestes barrières Se laver les mains régulièrement Utiliser un mouchoir à usage unique Tousser ou éternuer dans son coude Porter un masque jetable quand on est malade 65 ans et + Femmes enceintes Personnes atteintes d’une maladie chronique Le vaccin est le
Elleinclut, bien sûr, le drôle de virus de cette année. De Babylone à Hong-kong . La première grippe documentée remonterait aux temps babyloniens, en 1750 avant J.-C. Hippocrate a ensuite
VAFAIRE TRÈS MAL. CNAM_FLYER 01/08/2019 12:35. FLY GRIP - 07/19 En complément du vaccin, apprenez les gestes barrières Se laver les mains régulièrement Utiliser un mouchoir à usage unique Tousser ou éternuer dans son coude Porter un masque jetable quand on est malade 65 ans et + Femmes enceintes Personnes atteintes d’une maladie chronique
awidYLo. L'année 5 une année qui normalement favorise l'emploie, l'activité cette année elle est un peu remise en question. Elle est aussi source de surprise de ce côté là on devrait être servi, en année 5 c'est un peu comme en surf sur une grosse vague il suffit de se laisser 2021/2022 Par Judith Fricot MédiumL'année 2021 sera marqué par le covid on peut s'en douter, les conséquences seront ce qui concerne le virus, il va continuer à progresser, les cartes sont formelles la seule solution est l'isolement depuis Décembre 2019 les cartes nous préviennent. Étant donné que beaucoup de gens auront du mal a se discipliner, le virus continuera à progresser en France. Un durcissement en deux étapes devrait avoir lieu en Novembre et Décembre 2020 ce qui devrait ralentir sa pays sauront mieux maîtriser que d'autres, seul l'isolement entre chacun, la rigueur aura raison de cette épidémie. La France se placera parmi les mauvais élèves. Nous ne sommes pas à l’abri de re confinements régionaux, de distances kilométriques. Un vaccin est toujours confirmé entre le printemps et l'été 2021 comme je l'avais annoncé en Décembre 2019. Il ne fera pas pour autant pas disparaître la maladie, il permettra de colmater, beaucoup refuseront de se faire vacciner. Ce sera long avant de voir le bout du S'est sur le mois de Septembre 2021 que la crise économique sera à son pic, beaucoup d'entreprises fermeront, le seuil de pauvreté s'amplifiera, une période longue et compliquée s'annonce. Ce n'est que sur le premier trimestre 2023 que l'économie repartira en France, l'emploie connaîtra une belle envolée, nous devrions enfin voir le bout du tunnel. Comme une après guerre nous vivrons une libération économique avec de belles Comme je l'ai annoncé plus haut l'emploie sur l'année 2021 en France sera très compliqué pour beaucoup d'entre nous. Avec des entreprises à bout de souffle, du chômage, des personnes se retrouvant par la force des choses sans allocation. Une nouvelle formule devrait être voté par le gouvernement afin de venir en aide a ceux qui ont tout perdu. Heureusement après la pluie viendra le beau temps l'année 2023 devrait s'annoncer sous de meilleurs hospices avec un regain d'activité dans tous les secteurs. Les étranger devraient revenir dans notre beau pays ayant été privé pendant presque deux ans ils redonneront un nouveau souffle au secteur du tourisme. Un regain comme nous l'aurions jamais Un secteur qui va bouger cette année, des prises de consciences pour ceux qui travaillent a corps perdu pour nous sortir de là . Le gouvernement va comprendre qu'il est primordiale d'améliorer ce secteur, des reconnaissances pour les professions médicales, mais aussi des réhabilitations des établissements hospitaliers seront à l'honneur. Malheureusement la période covid aura aussi fait des dégâts dans bien d'autres pathologies, avec une recrudescence des cancers, des maladies qui auront été négligées au détriment des patients. Il est important de continuer à se faire dépister et soigner dans tous les domaines. La robotique comme je l'avais annoncé en 2019 va prendre une place importante dans le secteur de la santé mais pas que. Nous entrons dans l'erre des machines, attention de ne pas se déshumaniser. De belles avancées dans la recherche, le covid a aussi du bon il aura servi à découvrir d'autres molécules qui soigneront d'autres maladies. Une grande avancée dans le VIH, et le cancer du sein. Ainsi que dans certaines maladies rares. De nouvelles maladies verront le jour et surtout des anciennes dont on entendait plus parler vont va subir une flambée dans certaines régions. On pourrait voir une délocalisation, suite aux différents confinements, le télé travail va s'accentuer, beaucoup d'entre nous auront envie de quitter les grandes villes au profit de la campagne. Profiter des espaces vert deviendra banques en revanche devraient resserer la vice, ce qui ne favorisera pas les achats immobilier par prêt. De grands boulversements dans ce secteur comme dans bien d'autres. L'homme face aux restrictions changent ses habitudes, voit l'avenir différement, prend certaines régions en revanche le manque d'activité professionnelle risque de faire chuter les prix, soyez patients si vous le pouvez. Ils devraient remonter d'ici deux sera la plus révélatrice des années en matière d'écologie, enfin certain commencent à tirer la sonnette d'alarme, cela fera grincer des dents dans certains secteurs. Fini certains combustibles, certains polluant, mais il faudra bien les remplacer par de nouvelles énergies qui auront un coût. Nous ne pouvons plus reculer la planète va bien nous le faire savoir, les catastrophes naturelles vont s'amplifier en France un important tremblement de terre que je qualifierais de glissement de terrain, je vois comme une énorme plaque de couleur glaise qui glisse . Je ressent la terre bouger à certains endroits surtout ou il y a de l'eau je ne peux situer mais cela pourrait venir de la mer. Les tempêtes n'en parlons pas nous devrions avoir un été sec. J'ai des images d'une terre qui se craquelle. Nous devront adapter les cultures, l'heure n'est plus a se plaindre mais à anticiper, à s'adapter au nouveau climat afin de survivre. Les normes des habitations pourraient elles aussi scandale dans le poisson, beaucoup d'entre nous comme je l'avais annoncé l'année dernière vont commencer à s'auto alimenter, les jardins seront très à la mode même sur les Des renforcements sur le territoire seront obligatoires, je ne m’édenterais pas sur ce sujet mais il faudra rester très prudent face a des actes isolés, violents. Une sorte de déclaration de guerre envers la Coronavirus "Le Après"Réalisé le 2 Février 2020Après vos nombreux messages me demandant ce qu'il allait se passer après le confinement, je vous livre mes prédictions pour le après confinement lié au il y aura un avant et un après !Pour moi, en tant que médium, cela fait quelques années que je sais au fond de moi-même, que nous vivons un changement d’ère, c'était écrit. La planète devait reprendre ses droits, tout cela a commencé par un changement énergétique puissant, des intempéries massives, des feux, des tempêtes, des tremblements de terre, qui, vous remarquerez, se sont apaisés depuis l'apparition du virus. L'être humain se croitsurpuissant au dessus des lois de l’univers, pensant qu'il pouvait tout détruire sans jamais être jugé. Ce virus va indirectement nettoyer la planète, il y aura un avant et un après. Sur le plan économique nous allons vivre une véritable catastrophe, les classes sociales vont changer, il n'y aura plus d’intermédiaires. Il y aura ceux qui vont s'en sortir et les autres, démunis de tout. Car le après va nous confronter à beaucoup de gens sans emploi, qui ne pourront plus payer leur logement, qui vont se retrouver dans la rue. La délinquance va augmenter en France, les vols, car la famine peu et va s'installer dans certaines famille en France, sans parler dans d'autres pays étrangers qui vont vivre un véritable cataclysme. En France nous seront malgré tout favorisé, en revanche dans ces pays déjà touchés par la pauvreté d'autres virus vont revenir dévaster les populations. La peste et le choléra ne sont peut-être pas si loin. Je vous annonçais un crac boursier venu des Etats Unis on y arrive, ce pays va être touché bien plus qu'on ne le pense, l'immobilier va s’effondrer, la bourse va chuter, entraînant des conséquences sur la France et les autres pays. Voir mes prédictions 2020 nous devrions nous en sortir. N'oubliez pas le titre de celles-ci nous n'avons plus d'avenir » J'ai prédit en Août dernier que les gens allaient changer, que nous allions nous auto alimenter. Ce qui en a fait sourire certains. J'invite tous ceux qui ont des jardins à semer, planter, il est encore temps de prévoir le après, de pouvoir récolter vos légumes frais quand d'autres n'auront plus à manger. Les cultures vont être dévastées, le peu qu'on pourra sauver sera hors de prix, n'oublions pas que les frontières ne vont pas ouvrir du jour au lendemain. Nous aurons cette crainte que le virus voyage encore. Cela peu vous paraître insensé, comme ça l'était quand j'ai prédit que nous allions rester confiné jusqu'en Juin ! Mais c'est ce qui m’apparaît. Si l'Homme tire une leçon de tout cela alors cette nouvelle ère se fera, nous nous en sortirons. Nous allons dynamiser nos producteurs locaux, pour nous sortir de cette crise économique, nos agriculteurs vont reprendre leur place, la pêche locale, les commerces de proximité. Tous ce qu'on avait négligé, nous allons consommer Français notre cheval de bataille va s'auto suffire avec nos industries. Notre priorité va devenir le secteur médicale ma prédiction prend aujourd'hui tout son sens je voyais des gens défiler dans les rues des médecins, infirmierseres avec des écrits au sang sur leur blouse blanche, les marques de tous ces morts laissés derrière eux. Nous mettrons tout en oeuvre pour améliorer le secteur médicale, il sera la priorité afin de ne plus jamais vivre une crise comme celle-ci. Le secteur immobilier va lui aussi être impacté, les populations vont migrer, privilégiant la campagne à la ville. Nos priorités seront différentes, une hausse des prix de l'immobilier est envisageable, et les taux d’intérêts pourraient remonter, mais l'influence de l’effondrement des Etats-Unis empêchera cette hausse. Nous allons également subir des conséquences non négligeables au confinement, mais aussi à toutes ces informations ingérées pour nous obliger à rester chez nous, tous ces morts cités chaque jour, ces images ingérées auront des conséquences irréversibles comme pour nos grands parents qui gardent les stigmates de la seconde guerre. Certains vivront dans la crainte, d'autres pleinement, chacun à sa façon ce traumatisme. La bonne nouvelle dans tous cela c'est que nous allons enfin prendre conscience que ce confinement, cette baisse de production, mais aussi de population qui va être énorme surtout aux Etats Unis, aura offert à notre belle planète une bouffé d'oxygène. La nature va se régénérer, la pollution sera moins importante, la reproduction animale n'aura jamais été aussi intense, la terre reprendra ses droits. L'économie en France reprendra sur 2022 pleinement, revalorisant certains secteurs. Différemment et dans plus de respect de chacun, de l'espèce animale, de l'hygiène, et de la nature. Alors oui, on peu nous prendre nous médiums pour des illuminés, mais certains événements sont bien écris, nous ne sommes rien face aux lois de l'univers. Nous sommes bien à la fin d'un monde. Il y aura bien un avant et un après codid 19 ! Par Judith Fricot Medium Judith Fricot médium auteur année difficile certes mais qui nous prépare à une nouvelle ère, a une renaissance. Il faut donc rester optimiste pour l' Fricottoute reproduction même partielle interdite, vous pouvez partager en respectant l'identité et intégrer l'adresse de mon site
La grippe est à nos portes la saison débute souvent en novembre dans l’hémisphère nord. Or, c’est une maladie grave, qui tue des centaines de personnes chaque année au Québec. Surtout des grands malades plus à risque de complications. Heureusement, il y a un vaccin, que je vais d’ailleurs recevoir dans les jours qui viennent. Et vous? Êtes-vous contre la grippe… ou contre le vaccin ? Disons-le tout de suite si vous faites partie des groupes à risque, vous devriez vous faire vacciner. Voyons pourquoi. On est malade quand on a la grippe Quand je demande à des patients s’ils ont déjà eu la grippe, certains réfléchissent longuement. Pas besoin. Généralement, quand vous avez eu la grippe, vous vous en souvenez. Longtemps. Rien à voir avec un rhume. La grippe, ça cloue généralement au lit quelques jours pour une bonne raison difficile de se lever à cause des douleurs musculaires. Environ 10 à 15 % des gens vont attraper le virus durant une saison de grippe moyenne. Le virus de l’influenza, responsable de la grippe, cause donc les symptômes suivants fièvre souvent élevée, toux, courbatures musculaires parfois intenses, fatigue, ainsi que des maux de tête et un mal de gorge. Ça commence souvent assez rapidement et on n’a vraiment pas le goût d’aller travailler, quand on peut se lever du lit. Évidemment, c’est bien pire pour les hommes on fait des blagues, mais certaines études montrent qu’effectivement, la grippe d’homme existe. Mais je ne l’ai jamais rencontrée perso, n’ayant jamais eu la grippe. Quoi faire ? Alors on fait quoi, quand on a la grippe ? Pas grand-chose. Le moins possible. D’ailleurs, vous ne pourrez pas en faire beaucoup plus. Mais sinon, tentez d’atténuer les symptômes avec de l’acétaminophène on peut aller chez les adultes jusqu’à 1 000 mg quatre fois par jour sans problème ou de l’ibuprofène 400 mg quatre fois par jour est généralement bien toléré, et on peut même alterner les deux. Essayez au moins d’épargner votre famille et vos amis. Restez donc à la maison, pour commencer. Ça durera une bonne semaine, alors louez-vous des films et ouvrez un gros livre. Des mesures toutes simples sont efficaces. Toussez ou éternuez dans le pli de votre coude ou le haut de votre bras, et non dans vos mains avant de toucher à tout ce qu’il y a dans la maison. Parlant des mains, lavez-les souvent, c’est un moyen de transmission privilégié. Surtout si vous avez la fâcheuse habitude de tousser ou d’éternuer dedans. Et si vous avez à consulter, munissez-vous d’un masque ou prenez-en un à l’arrivée à l’urgence ou en clinique les autres patients vous remercieront. Enfin, nettoyez régulièrement les endroits où vos mains passent souvent poignées de porte, comptoir, robinets, etc. On me demande souvent s’il existe un antiviral pour aider à lutter contre la grippe. En fait, certains antiviraux peuvent aider, surtout s’il est pris dans les premières 48 heures des symptômes ils atténuent un peu l’intensité de la grippe, mais les données sont moins claires sur les complications ou la transmission. Pas de miracle cependant, et c’est peu utile pour la plupart des gens en bonne santé la plupart vont bien s’en tirer sans aucun médicament spécifique. Se faire vacciner ou pas La grande question, ça reste la vaccination. Or, beaucoup de gens sont contre » les vaccins. Juste comme ça. Comme on est contre la pluie. Souvent, c’est parce qu’ils craignent les vaccins. Notamment des complications ». Ils croient aussi que les vaccins contre la grippe peuvent… donner la grippe. D’autres le pensent tout à fait inutile. Ils ont tous un peu tort. Les raisons de se méfier des vaccins sont parfois irrationnelles. La plus grande vague de méfiance tourne autour du lien présumé entre le vaccin contre la rougeole et l’autisme. Soyons clairs ce lien n’existe pas. Il fut essentiellement basé sur une étude bidon du docteur Andrew Wakefield publiée en 1997, un gastroentérologue anglais qui se targuait de virologie, dont la triste contribution scientifique » fut reconnue bien des années plus tard comme une fraude. Le chercheur était même en conflit d’intérêts. Mais le mal était fait, et dans l’esprit de beaucoup de gens, le lien causal existe pour toujours, sans doute à cause du lien temporel entre la reconnaissance de l’autisme et le vaccin donné à 18 mois. Nier cela revient parfois à participer à un complot du silence. Triste résultat une baisse de la vaccination contre la rougeole et une recrudescence de la maladie. Une autre source d’inquiétude, plus rationnelle, est le lien présumé entre certains vaccins, comme celui pour la grippe, et le syndrome de Guillain-Barré, un problème neurologique qui peut être grave. Mais ce lien est très mal documenté tout au plus a-t-on observé parfois, certaines années, un lien statistique entre une légère hausse du taux de Guillain-Barré et la vaccination. Mais il faut savoir que le syndrome de Guillain-Barré est toujours présent et souvent causé par… les virus eux-mêmes. Et le lien causal n’est pas démontré avec le vaccin. Sinon, on a beaucoup craint les adjuvants », ajoutés aux vaccins pour rehausser la réaction immunologique la création d’anticorps. Leur toxicité n’est pas non plus démontrée. Et la plupart des vaccins offerts actuellement n’en contiennent pas. Un autre aspect qui fait sourciller légitimement est l’influence des compagnies pharmaceutiques qui fabriquent ces vaccins. Il va sans dire que les campagnes massives de vaccination gonflent les coffres de ces compagnies. Par ailleurs, les conflits d’intérêts exposés entre des experts de l’OMS et certaines compagnies en ont fait tiquer plusieurs lors de la crise du H1N1 ». Avec raison. Enfin, pour certains vaccins très onéreux, on se demande vraiment s’il vaut la peine d’investir autant. On ne peut donc exclure cette influence, bien que pour la grippe annuelle, les données scientifiques sont assez solides. Il faut bien le dire, les vaccins comptent parmi les traitements médicaux non seulement les plus efficaces, mais aussi les plus sécuritaires. Les réactions indésirables sont vraiment exceptionnelles et, en fait, beaucoup plus rares que pour beaucoup de traitements courants. Par exemple, la mortalité associée à un cathétérisme cardiaque courant tourne autour de 1 sur 1 000 patients. Ce qui veut dire que pour chaque million de cathéters, 1 000 personnes décèdent. Ce n’est pas rien et c’est vrai pour beaucoup d’interventions médicales. Il faut donc peser les risques et les avantages, et les avantages dépassent généralement de beaucoup les risques. Bien sûr, on vaccine beaucoup plus de gens qu’on ne fait de cathétérisme cardiaque. Alors quand on vaccine des millions de personnes, on peut penser que certains effets secondaires rares peuvent survenir et sont plus apparents, s’agissant souvent de gens sans problème aigu. Mais je suis bien d’accord qu’il faut toujours peser les risques et les avantages de la vaccination. C’est du cas par cas. Tout simplement. Dans le cas du vaccin pour la grippe, les risques sont toujours minimes, alors que pour certains groupes à risque, les avantages sont clairs. Les vaccins au menu en 2013 Les vaccins contemporains contre la grippe sont trivalents », couvrant les quelques souches virales qui causeront probablement la grippe de la saison qui s’en vient, notamment basées sur l’année précédente et la saison grippale de l’hémisphère sud. On trouve en 2013 deux souches de grippe A » H3N2 et H1N1 et une souche d’une des deux lignées de grippe B Yamagata ou Victoria. Sept vaccins injectables sont donc approuvés au Canada, en plus d’un vaccin relativement nouveau, administré non par injection mais par vaporisation nasale, pour ceux et celles qui souffrent de phobie des aiguilles. Cette version sans douleur » sera offerte gratuitement aux enfants de 2 à 17 ans à risque de complications de la grippe. Au fait, un seul des vaccins contient de l’adjuvant », pour les personnes de plus de 65 ans, notamment afin d’augmenter leur réaction immunitaire. Les seules réelles contrindications? Les allergies sévères antérieures au vaccin ou bien une allergie aux œufs, puisque les petits virus sont élevés » sur les protéines d’oeufs, dont il restera des traces dans le produit final. Qui devrait se faire vacciner ? Entendons-nous sur le fait que les risques sont minimes et en réalité bien inférieurs à ceux d’à peu près tous les traitements médicaux. Admettons aussi qu’il ne s’agit pas de traitements très onéreux. Reste à voir qui a un avantage réel à être vacciné. Pas tout le monde surtout ceux qui appartiennent aux groupes à risque ». C’est-à -dire les personnes qui risquent de subir davantage de complication de la grippe. C’est d’ailleurs ceux pour qui le vaccin est couvert par l’assurance-maladie les enfants de 6 à 23 mois ; les personnes affectées par certaines maladies chroniques maladies pulmonaires ou cardiaques, ou cancer, par exemple ; les femmes enceintes en bonne santé au deuxième ou troisième trimestre de grossesse ; les personnes âgées de 60 ans et plus ; l’entourage des personnes à risque et des enfants de moins de 6 mois et les travailleurs de la santé. Pour la plupart de ces groupes, les avantages sont assez bien établis. Les données pour le groupe des personnes de plus de 60 ans en bonne santé sont toutefois moins claires, mais la plupart des experts s’entendent pour dire qu’il y a des avantages — et que ces avantages dépassent les inconvénients. Pour ce qui est des travailleurs de la santé, le vaccin est suggéré afin de limiter la transmission virale — bien qu’il ne soit pas obligatoire —, contrairement à ce qu’on voit ailleurs, notamment aux États-Unis ou en Colombie-Britannique, où un juge vient d’ailleurs de confirmer que le vaccin peut être imposé. Il faut tout de même mentionner que les données appuyant une stratégie de vaccination obligatoire ne sont pas si claires, mais qu’elles sont appuyées par les experts. Chez nous, certains groupes de professionnels de la santé se font d’ailleurs assez peu vacciner, où le taux moyen serait actuellement de 44 %. Le ministre Réjean Hébert compte d’ailleurs agir pour augmenter la couverture. La protection offerte par le vaccin Va pour la sécurité et les groupes à risque, mais vous vous demandez sûrement est-ce que le vaccin est efficace ? Qui n’a pas eu une grosse grippe » après avoir été vacciné ? C’est même un argument souvent avancé pour refuser la vaccination. Plusieurs raisons peuvent expliquer un tel échec » du vaccin. D’abord, le choix » des souches vaccinales est-ce le bon ? C’est toujours un pari. Ensuite, la protection contre les souches couvertes n’est pas de 100 %. Elle tourne plutôt autour de 80 %, permettant soit d’éviter la grippe 4 fois sur 5, ou d’atténuer la grippe chez les autres. Enfin, il faut savoir que d’autres virus que l’influenza, donc non couverte par les vaccins, causent des syndromes cliniques similaires à ceux de la grippe. Par ailleurs, des études récentes montrent que le vaccin pourrait agir non seulement contre le virus de la grippe… mais pour contrer la maladie cardiaque. On sait depuis plusieurs années que l’athérosclérose, une atteinte des vaisseaux sanguins conduisant à l’infarctus et à l’AVC, est en fait une maladie inflammatoire des vaisseaux sanguins qui peut être accélérée par un épisode d’infection virale, souvent retrouvé dans les semaines qui précèdent la crise cardiaque. Or, des chercheurs de Toronto viennent de montrer que le vaccin anti-grippal pourrait diminuer le risque d’infarctus ou de décès cardiaque de manière assez tangible — de près de moitié —, le taux passant de 4,7 % à 2,9 %. Cela explique peut-être en partie l’efficacité démontrée du vaccin chez les grands malades, notamment les cardiaques. Alors, libre à vous de vous faire vacciner ou pas. Si vous faites partie des groupes à risque, vous devriez y songer sérieusement. Appelez votre médecin ou rendez-vous au CLSC. Pour les autres, c’est un choix. Quant à moi, je vais me faire donner la piqure dans les prochains jours. Pour éviter de l’attraper, d’abord, étant plutôt exposé dans mon métier. Mais aussi de le transmettre. Mais je suis curieux et vous, allez-vous vous faire vacciner ? Je lance la discussion. * Pour le site du MSSS sur la grippe et d’autres informations. Voir aussi l’excellent et amusant blogue du Pharmachien sur les les vaccins en cliquant ici. Pour ma chronique à propos de la grippe à Medium Large Pour me suivre sur Twitter. Pour me suivre sur Facebook. Pour me lire dans Privé de soins sur du papier qui sent l’encre ou numérique.
Santé Réservé aux abonnés INTERVIEW. Les injections simultanées du vaccin antigrippe et de rappels contre le Covid inquiètent. Le Pr Mathieu Molimard répond aux questions qui piquent. Le vaccin contre la grippe ne sera pas obligatoire. © ALIX GUIGON / AFP C’est une campagne de vaccination particulière qui débutera le 26 octobre prochain. Les scientifiques redoutent que la grippe ne frappe plus fort cet hiver que l’année précédente. Autre particularité, la majeure partie des publics ciblés est également concernée par l’administration d’une troisième dose de vaccin contre le Covid-19. Ce rappel, pratiqué avec un vaccin ARNm, six mois au minimum après la deuxième dose, est recommandé à toutes les personnes de plus de 65 ans ou souffrant de comorbidités diabète, pathologies cardio-vasculaires… ainsi qu'au personnel de santé. Au total, 18 millions de personnes sont concernées. De l’utilité réelle de la troisième dose aux risques associés à l’injection conjointe des deux vaccins différents, le Pr Mathieu Molimard, chef du service de pharmaco... Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Grippe et Covid Plusieurs événements se précipitent cette année » 6 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.
Selon les prévisions des experts, la gastro-entérite va être redoutable cet hiver, avec un pic attendu en fin de semaine. Il pourrait s'agir d'une des trois plus fortes épidémies des quinze dernières de jeunes touchésLe réseau sentinelle de surveillance et de veille épidémiologique pour les maladies transmissibles tend à confirmer les prévisions. Au 1er janvier, l'incidence nationale de la gastro-entérite se trouvait déjà nettement au-dessus du seuil épidémique. Sur les dix régions ayant dépassé le seuil, les trois les plus touchées sont le Nord-Pas-de-Calais, l'Aquitaine et la Bourgogne. C'est ainsi que durant les quinze derniers jours de l'année 2005, près de patients ont consulté leur médecin généraliste. Dans la moitié des cas, les patients avaient moins de 25 ans. Le pic épidémique est attendu cette semaine, avant le 15 janvier. Selon les prévisions de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale Inserm, l'épidémie pourrait être l'une des plus virulentes des quinze dernières années. Deux virus sont principalement impliqués les norovirus et les rotavirus plus fréquents chez les sujets hospitalisés et touchant davantage les enfants.Peut-on prévenir la gastro ?Oui, par l'hygiène, et essentiellement par le lavage des mains ! Cette maladie virale est de transmission féco-orale des matières fécales vers la bouche et des doses infectieuses minimes suffisent. Le risque de contamination est donc particulièrement élevé et les mains constituent le principal vecteur. La transmission est très facile par l'intermédiaire de toutes surfaces souillées, comme par exemple les poignées de portes. De plus, selon le Pr Pierre Pothier, directeur du Centre national de référence des virus entériques à Dijon, il existe probablement une transmission aérienne du rotavirus. Et enfin attention au danger de déshydratation. Il s'agit en effet de la principale complication chez les plus petits mais également chez les personnes âgées. Le recours aux solutés de réhydratation ne doit donc pas se faire attendre En conclusion, il est indispensable de se laver soigneusement les mains à l'eau et au savon très régulièrement et systématiquement après être allé aux toilettes, avant de préparer les repas et de s'occuper des enfants en bas à la grippe, le virus est en berne. Aucune activité épidémique n'est prévue dans les deux semaines à NewsletterRecevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de adresse mail est collectée par pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir Réseau sentinelle, semaine 52 du 26 décembre 2005 au 1er janvier 2006.
Nouvelle communication "offensive", possibilité de faire le vaccin en pharmacie... Le gouvernement a lancé officiellement lundi la campagne de vaccination contre la grippe avec un objectif augmenter le taux de protection des populations à risque, en particulier les femmes enceintes et les "jeunes seniors". "Cette année encore la grippe va faire très mal", proclame le slogan de la campagne publicitaire destinée à "frapper les esprits", dévoilée par le ministère de la Santé, l'Assurance maladie et Santé publique France. Elle met en scène un "personnage pernicieux" en combinaison hérissée de piquants pour personnifier le "méchant" virus. "Forte fièvre, maux de tête, fatigue intense, courbatures, le film rappelle à quel point la maladie peut être invalidante et comment, face à ce fléau, la vaccination s'impose comme la première des protections", expliquent les autorités sanitaires. "Loin de constituer une banale infection de type ORL ou respiratoire, comme on le pense souvent, la grippe est au contraire responsable de complications invalidantes et de décès, particulièrement pour les personnes fragiles", a insisté le directeur général de la Santé Jérôme Salomon, devant la presse. Chaque année, cette maladie virale touche 2 à 6 millions de personnes, entraîne des dizaines de milliers de passages aux urgences et fait morts en moyenne, a-t-il rappelé. La campagne de vaccination, lancée le 15 octobre, vise en priorité les personnes "fragiles" face au virus plus de 65 ans, personnes atteintes d'une maladie chronique diabète, insuffisance cardiaque ou respiratoire... ou d'une obésité sévère et femmes enceintes, soit "plus de 13 millions de personnes". Toutes les personnes majeures éligibles peuvent retirer le vaccin à la pharmacie "sur présentation de leur bon de prise en charge de l'Assurance maladie" et se faire vacciner au choix par un médecin, un infirmier, une sage-femme et, nouveauté 2019, un pharmacien volontaire. - Deux tiers des médecins vaccinés - Après deux ans d'expérimentation dans quatre régions tests, la possibilité de se faire vacciner en pharmacie a en effet été généralisée. Quant aux infirmiers, leur rôle est élargi depuis l'an dernier, avec la possibilité de vacciner sans ordonnance l'ensemble des personnes ayant reçu un bon de la Sécurité sociale, y compris les femmes enceintes et ceux se faisant vacciner pour la première fois. L'objectif est "de multiplier les occasions de se faire vacciner" pour augmenter la couverture vaccinale, "insuffisante avec moins d'une personne fragile sur deux vaccinée 46,8%", "très loin du niveau de 75% recommandé par l'OMS", a souligné Jérôme Salomon. Ce chiffre est en régression ces dernières années il était de 58,7% en 2008, malgré une hausse de 1,2 point l'année dernière. Deux publics sont particulièrement visés les "jeunes seniors", qui "se croient encore invincibles", et les femmes enceintes "qui ne savent pas les ravages que peut provoquer la grippe", a détaillé Olivier Lyon-Caen, médecin-conseil national à la Caisse nationale d'Assurance maladie CNAM. Chez ces dernières, le taux de vaccination n'était que de 7,4% selon les dernières données connues 2016, souvent par crainte des effets sur le foetus, alors que la vaccination protège au contraire contre les risques de fausse couche et de naissance prématurée qu'entraîne une grippe pendant la grossesse. Les pouvoirs publics insistent aussi sur la vaccination insuffisante des professionnels de santé, pourtant "essentielle pour éviter la transmission de la maladie" aux plus fragiles. Selon une étude publiée lundi, seuls 35% des professionnels de santé travaillant en hôpital ou en clinique étaient vaccinés contre la grippe l'an dernier, un chiffre toutefois en nette progression par rapport à il y a dix ans 25,6%. Une expérimentation sera menée pendant trois ans en Normandie et en Ile-de-France pour déterminer "quels sont les meilleurs moyens pour entraîner une adhésion optimale" chez ces professionnels. Interrogé sur l'idée de rendre obligatoire le vaccin de la grippe dans cette population, le directeur général de la Santé a déclaré que "tout ça fait l'objet de réflexions, mais on en appelle surtout à leur mobilisation dans l'intérêt des patients". L'hiver dernier, l'épidémie de grippe saisonnière a entraîné une mortalité moins élevée que la moyenne des années précédentes, mais sur une période plus courte, avec décès estimés, selon un nouveau bilan de Santé publique France.
cette année encore la grippe va faire très mal